Documents pour l'histoire de la transition CII-HB-> Bull (1981-1982)
Le 6 juillet 1981, le FLASH N° 467 annonce que MONSIEUR MAXIME BONNET EST
NOMMÉ PRÉSIDENT DIRECTEUR GÉNÉRAL DU
GROUPE CII - HB
A l'issue de la réunion du Conseil d'Administration de CII HONEYWELL BULL du
3 juillet, la Compagnie fait savoir que Monsieur Jean-Pierre BRULÉ a été démis
de ses fonctions de Président Directeur Général et remplacé à ce poste par
Monsieur Maxime BONNET, précédemment Directeur Général de la Compagnie.
Au cours de la réunion du Conseil qui a procédé à sa nomination, Monsieur BONNET
a fait la déclaration suivante :
" Je souhaite dire ici à titre personnel combien je regrette les dissensions qui
ont surgies entre la majorité de ce Conseil et Monsieur BRULÉ et qui ont abouti
à la situation présente ; c'est sous sa conduite rigoureuse et clairvoyante que
la Compagnie a passé les caps difficiles depuis bientôt 13 ans et qu'elle s'est
hissée au premier rang de l'informatique en Europe ; je doute que nous aurions
pu réaliser ce tour de force sans lui. Ceci étant dit, avant d'accepter ces
fonctions importantes, et en raison des circonstances actuelles, je souhaiterais
recevoir du Conseil certaines assurances... "
Le 8 juillet 1981, FLASH N° 468 :
Le Comité Central d'Entreprise s'est réuni le mardi 7 juillet sous la présidence
de Monsieur Maxime BONNET.
GSIG / Département Études Matériel DPS 7/DPS 8 -
Le 16 juillet 1981, Communiqué N° 2126 :
A compter du 1er juillet 1981, Monsieur André SARRE prend la responsabilité de
la Division Sous-systèmes Périphériques de la Direction Études Micrologiciel et
Logique, au sein du Département Études Matériel DPS 7/DPS 8, en remplacement de
Monsieur Henri VERDIER.
GIDB / Département Informatique Distribuée -
Le 3 août 1981, Communiqué N° 2134 :
A compter du 1er août 1981, Monsieur Daniel MERCIER assurera la responsabilité
de la planification de la ligne de produits des micro-ordinateurs Questar/M au
sein du Département d'Informatique Distribuée.
GIDB - Le 11 août 1981, Communiqué N° 2135 :
A compter du 7 août 1981, il est créé une Direction Industrielle du Département
Sous-Systèmes Périphériques et Usine de Belfort. Cette Direction est confiée à
Daniel PLOYE qui sera rattaché directement au Directeur Général du Département.
GIDB / Département Sous-Systèmes Périphériques -
Le 11 août 1981, Communiqué N° 2136 :
A compter du 7 août 1981, l'organisation Fabrication de l'Usine de Belfort
comporte deux Directions :
- une Direction Fabrication " Technologies et Sous-Ensembles " confiée à Daniel
DRUX.
- une Direction Fabrication " Produits " confiée à Edmond FAURE.
Le 8 septembre 1981, diffusion par F. SALLÉ du document remis par le CIGREF
au Ministère de l'Industrie :
" Réflexions des utilisateurs sur la politique industrielle nationale dans le
domaine de l'informatique "
CE QUE LES ENTREPRISES ATTENDENT DE L'INFORMATIQUE
Il est clair que l'informatique n'est plus, aujourd'hui, le domaine réservé à
quelques initiés qui a pu inspirer les enthousiasmes et les craintes des années
60-70. Pour les grandes entreprises, et en particulier celles qui sont membres
du CIGREF, il s'agit maintenant d'un outil de travail qui a pénétré l'ensemble
des activités.
Cela signifie que cet outil appartient à tous, mais aussi que son impact sur la
vie de l'entreprise est devenu beaucoup plus profond que ce qu'il était à
l'époque des " pionniers ". Cela signifie par conséquent que l'on exige
maintenant de lui des qualités nouvelles.
Ce que les entreprises attendent de l'outil informatique, c'est essentiellement
:
- la sûreté de fonctionnement,
- la continuité dans la politique produits,
- l'amélioration du rapport performances/coût.
......
Les entreprises doivent pouvoir planifier leur informatique de façon autonome
Pour atteindre les trois objectifs qui viennent d'être décrits, les grandes
entreprises s'efforcent de définir une politique informatique autonome, en
s'appuyant bien entendu sur les constructeurs, mais en évitant de s'inféoder à
aucun d'entre eux. C'est pourquoi elles sont particulièrement sensibles à tout
ce qui peut augmenter leur indépendance, et en particulier :
- à pouvoir disposer, dans chaque secteur de l'informatique, d'une situation de
concurrence sans domination abusive de la part d'un fournisseur, quelqu'il soit,
- à bénéficier de ce que l'on a appelé la " liberté d'assemblage ", c'est-à-dire
la possibilité de construire des architectures hétérogènes mais cohérentes, en
faisant appel de la façon qui leur convient le mieux à des constructeurs
différents.
C'est par rapport à cette famille d'objectifs que l'on doit juger la situation
de l'informatique en 1981, et en particulier la place de l'informatique
française. Pour y voir plus clair, il paraît nécessaire de diviser l'ensemble du
domaine en six sous-domaines :
1 . Les ordinateurs de haut de gamme (puissance de 5 MIPS à 200 MFLOPS)
... La tendance, comme on l'a déjà noté, est à la construction d'architectures
hétérogènes.
Ce secteur a par ailleurs été marqué par la contradiction qui est apparue entre
:
. la décision de la CII-HB de ne rechercher en rien la compatibilité avec IBM,
. la forte incitation des Pouvoirs Publics en faveur d'une pénétration rapide
des matériels CII-HB...
2 . Les ordinateurs de milieu de gamme (de 0,5 à 5 MIPS)
Ce secteur est le seul que l'on puisse considérer comme relativement
satisfaisant (au plan des matériels, sinon au plan des logiciels). On peut
rappeler à ce sujet que :
. La gamme IBM 4340 et 4330 a un rapport performance/coût au moins égal à celui
des très grands ordinateurs.
. Les gammes DPS 7 et DPS 8 sont comparables à la gamme IBM en performance/coût
du matériel.
La gamme DPS 7 a en outre l'avantage de ne présenter de discontinuités du bas au
haut de gamme, sur le plan des logiciels.
3 . Les minis et la péri-informatique
4 . Les logiciels
5 . Les réseaux
6 . La bureautique et le télématique
Conclusion
Pour les grandes entreprises :
Sont absolument primordiales les questions intéressant les systèmes et réseaux
informatiques.
Les entreprises sont en train de construire des réseaux hétérogènes.
Les réseaux télématiques ou bureautiques sont avant tout un champ
d'expérimentation et constituent la réalité de demain (1985-1990) plutôt que
celle d'aujourd'hui.
De fait, la solution de nombreux problèmes de liaison, de communications et/ou
d'assemblage des systèmes informatiques télématiques et bureautiques
d'aujourd'hui comme de demain passe par la plus large diffusion des protocoles
des constructeurs, et une forte accélération des processus de normalisation à
tous les niveaux techniques et toutes les instances nationales et
internationales concernés.
Le 9 septembre 1981, Communiqué N° 2141 :
Depuis le 1er septembre, Monsieur A. MINC, reprenant à plein temps ses fonctions
de Directeur des Services Financiers du Groupe Saint-Gobain, a quitté son poste
de Directeur Financier de CII-HB.
GIDB - Le 11 septembre 1981, Communiqué N° 2142 :
A compter du 1er août 1981, Jacques LIBERT prend la responsabilité de la
fonction Produits au sein de la Direction Business Planning du GIDB.
Le 23 septembre 1981, FLASH N° 472 :
Le Comité Central d'Entreprise s'est réuni le mardi 21 septembre sous la
présidence de M. Maxime BONNET.
Parmi les points abordés :
NATIONALISATIONS ET RELATIONS AVEC HONEYWELL
La prise de contrôle par l'État de CII-HB peut se faire :
- soit à 100 % par rachat de la totalité des actions de CII-HB, et donc des 47 %
d'Honeywell,
- soit à 53 % par la participation majoritaire dans la Compagnie des Machines
Bull découlant de la nationalisation de Saint-Gobain.
A ce jour, il est acquis que Saint-Gobain sera nationalisé d'ici la fin de
l'année. L'État possédera alors 70 % (51 % Saint-Gobain + 10 % État + 10 %
investisseurs institutionnels) de la Compagnie des Machines Bull qui possède 53
% de CII-HB.
Relations avec Honeywell
. Position des Pouvoirs Publics : le maintien des liens techniques avec
Honeywell, même au-delà des accords, est fortement souhaité par les Pouvoirs
Publics, avec parallèlement une diminution progressive du degré de dépendance de
CII-HB vis-à-vis d'Honeywell.
. Position d'Honeywell : Honeywell semble faire preuve à la fois de réserve et
d'ouverture, c'est-à-dire que les dirigeants d'Honeywell, tout en manifestant
une bonne volonté globale, attendent de voir les conditions de nationalisation
de CII-HB avant de se prononcer sur leur maintien dans le capital comme sur le
maintien des accords techniques. Ceci reste donc une grande inconnue.
GIDB / R2E - Le 6 octobre 1981, Communiqué N° 2151 :
A compter du 15 septembre, Monsieur Didier COLLET est nommé Directeur Général de
R2E, directement rattaché à Monsieur TRUONG, Président Directeur Général.
Le 16 octobre 1981, diffusion par Maxime BONNET d'une note dont l'objet est :
MISSIONS LIGNES DE PRODUITS
"L'une des dispositions importantes du projet d'organisation des fonctions
techniques et industrielles adopté en avril dernier, est la mise en place de
responsables dont la fonction est la prise en charge de tous les aspects d'une
ligne de produits, considérée comme une source de business pour la Compagnie,
par la coordination des efforts de toutes les unités qui concourent à la tenue
des engagements pris et au succès technique, commercial et financier de cette
ligne.
J'ai revu avec M. LECLERC la formulation de la définition de fonction des
Responsables de Mission Ligne de Produits (RMLP) établie à la suite des nombreux
contacts qu'il a pris avec plusieurs d'entre vous, et je l'ai approuvée. Elle
est jointe à cette note, ainsi qu'un projet de découpage de l'essentiel de notre
catalogue présent et futur en 7 lignes de produits.
Il est souhaitable que M. CANZIANI et M. WEBER déterminent, avant le 30 octobre
1981, les noms des responsables auxquels ils proposent de confier ces 7 lignes
de produits...
Définition de fonction RMLP
1 - Rôle général
2 - Domaines et modalités d'intervention
2.1 - Planification stratégique
2.2 - Planification par produit
2.3 - Gestion de la ligne de produits
2.4 - Compte d'exploitation pro-forma
2.5 - Contrôle d'application
3 - Résolution des conflits, arbitrage
4 - Information
5 - Évaluation du responsable de mission
Le 16 novembre 1981, Communiqué N° 2165 :
A compter du 16 novembre 1981, Monsieur Pierre LEPICARD et Monsieur Jacques
PERICCHI sont remplacés dans leurs fonctions actuelles et quitteront la
Compagnie le 1er décembre 1981.
Le 27 novembre 1981, Communiqué N° 2171 :
A partir du 1er décembre 1981, Monsieur Pierre BONELLI, détaché de la Compagnie
de Saint-Gobain, sera chargé de mission auprès de la Direction Générale de la
Compagnie.
ANNEE 1982
GIDB / Département Bureautique et Terminaux
- Le 27 janvier 1982, Communiqué N° 2190 :
A compter du 1er février 1982, C. CHAPELIER est nommé chef de la Division
Qualification des Composants au sein de la Direction des Services Techniques, en
remplacement de C. DAVID.
GIDB / Département S-Systèmes Périphériques -
Le 29 janvier 1982, Communiqué N° 2193 :
A compter du 1er février 1982, les responsabilités suivantes : stratégie d'une
ligne de produits, planification des produits, coordination des programmes,
contrôle économique de la ligne de produits, sont décentralisées et confiées à
trois " Chefs de Produits " :
- B. CAPITANT Chef de produits Disques Magnétiques
- A. GODIN Chef de produits Dérouleurs et Imprimantes
- R. GOURSAUD Chef de produits Périphériques Achetés
tous trois rattachés directement au Directeur Général du Département
Sous-systèmes Périphériques.
B. CAPITANT conserve ses attributions de Directeur Périphériques des Clayes.
A. GODIN quitte l'unité Qualité Centrale et Coordination des Programmes pour
prendre la Direction des Études Belfort avec, en complément, la mission Chef de
Produits Dérouleurs et Imprimantes.
R. GOURSAUD quitte la Direction des Études Belfort pour diriger une nouvelle
unité : la Direction Qualité Centrale et Périphériques Achetés et assume, en
complément, la mission de Chef de Produits Périphériques Achetés.
GIDB / Département S-Systèmes Périphériques -
Le 29 janvier 1982, Communiqué N° 2194 :
A compter du 1er février 1982, l'ensemble des responsabilités de support des
périphériques achetés par la Compagnie est confié au Département Sous-Systèmes
Périphériques de GIDB.
Au sein de ce Département, ces responsabilités de support sont confiées à une
nouvelle Direction "Qualité Centrale et Périphériques Achetés " (QCPA), dirigée
par R. GOURSAUD.
Le 5 février1982, réunion d'information " Direction Générale ".
Les résultats des objectifs 1981 sont passés en revue, puis sont donnés les
résultats globaux de l'exercice, caractérisés par :
- une croissance du chiffre d'affaires, + 16,7% par rapport à 1980,
- une progression des commandes, + 10,3% par rapport à 1980,
- la création d'emplois nouveaux, plus de 900,
- mais un résultat net consolidé en perte de 430,1 millions de francs, comparé à
un bénéfice net consolidé de 180,2 millions de francs en 1980.
Les résultats du Groupe ont été sévèrement affectés par une augmentation très
sensible de la charge financière. En effet, le Groupe a dû faire face à des
besoins de financements importants résultant d'une part de sa croissance,
d'autre part d'une augmentation anormale et conjoncturelle de certains actifs.
Sont ensuite présentés, par grandes unités, les points forts et les points
faibles de 1981 ainsi que les axes de progrès 1982.
Nous ne mentionnerons ci-après que les deux unités techniques.
GSIG
- Points faibles 1981 :
marge actuelle insuffisante sur les produits DPS 7
qualité des prévisions à moyen terme insuffisante
répartition des charges non en ligne avec les besoins futurs
dispersion des équipes études en région parisienne.
- Points forts 1981 :
production en série et bonne acceptation du DPS 7 par le marché CII - HB et HIS
accélération de la production d'Angers fin 1981
maîtrise de la fabrication des DPS 8 et MINI 6
stabilisation de l'appareil industriel
confirmation de la stratégie ligne DPS 7
release général de la version GCOS 64 - 1E1
succès de l'introduction du DPS 4 sur le marché.
- Axes de progrès 1982 :
assurer pleinement la mission RMLP
réaliser le programme de fabrication volume - régularité - qualité
démarrer et mener à bien les projets de développement des futurs produits DPS 7
tenir le calendrier des programmes de développement
améliorer la qualité des releases logiciel et du support aux clients
démontrer les possibilités GCOS 64 en haut de gamme
mettre progressivement à niveau le parc 66-DPS et DPS 8 en vue du passage à GCOS
8
définir et mettre en œuvre un plan de convergence DPS 4 vers DPS 7 à long terme.
GIDB
- Points faibles 1981 :
retard dans la mise en application de l'organisation par Lignes de Produits (RMLP)
niveaux des stocks et shop cost pour les produits fabriqués à Belfort
retard études dans la sortie produit Cynthia D 160
résultats financiers de R2E
moyens marketing OEM insuffisants.
- Points forts 1981 :
maîtrise technique et industrielle des secteurs clés pour l'avenir de CII - HB :
terminaux, réseaux, disques, imprimantes, bureautique, systèmes complexes (DAS)...
progrès déterminant en technologie magnétographique
maîtrise de la montée en cadence des fabrications : 61 DPS, micros, terminaux
création CPC
prise de participation dans CSI.
- Axes de progrès 1982 :
poursuivre les développements liés au plan bureautique de la Compagnie
consolider les positions de CII - HB dans les secteurs minis et réseaux
réussir l'expérience CP8 à Blois et à Vélizy
amplifier la part du CA micros
amplifier la part du CA OEM
renforcer les investissements études sur les périphériques
améliorer la qualité des produits GIDB
mettre en place et faire fonctionner la structure responsable de mission Ligne
de Produits
prise en charge par le département Sous-systèmes Périphériques de la
responsabilité de support
des périphériques achetés.
Le 11 février 1982, FLASH N° 486 : "CONTRAT DE SOLIDARITÉ"
Le 10 février, la Direction a remis aux membres du Comité Central
d'Entreprise un projet de contrat de solida-
rité sur lequel le CCE aura à émettre un avis lors de sa séance du mercredi 17
février.
1 - Le Contrat de Solidarité
Il s'agit d'un contrat qui pourrait être passé, pour l'année 82, entre l'État et
la Compagnie.
C'est à l'entreprise de définir les conditions (limites d'âge, ancienneté,
catégories, localisation géographique, etc... ) auxquelles devront satisfaire
les membres du personnel âgés de 55 à 60 ans, qui souhaiteraient bénéficier des
clauses de ce contrat...
2 - Les compléments Compagnie
3 - Les bénéficiaires
4 - Le calendrier
GIDB / Département Informatique Distribuée - Le 18 février 1982, Communiqué N°
2199 :
A compter du 15 février 1982, Charles DAVID prend en charge la responsabilité
Qualité Système du Département Informatique Distribuée . Il est rattaché au
Directeur Général de ce Département, C. LHEMANN.
GSIG/ Département Études Matériel DPS 7/DPS 8 - Le 5 mars 1982, Communiqué N°
2203 :
A compter du 15 février 1982, Monsieur Aderito LOPES prend en charge la
représentation de la Direction des Études Produits Angers auprès d'HIS aux
États-Unis. Dans ses nouvelles fonctions, il est directement rattaché à Monsieur
Jean-Marie DOUCHY.
Son principal objectif est d'assurer le succès de l'introduction du DPS 7 aux
États-Unis.
GIDB / Département S-Systèmes Périphériques - Le 8 mars 1982, Communiqué N°
2204 :
A compter du 15 février 1982, Jean-Louis AUQUE est nommé Directeur des Ventes
OEM pour l'Europe. Il est directement rattaché à François PELEYRAS.
GIDB / Département Informatique Distribuée - Le 9 mars 1982, Communiqué N°
2206 :
Dans le cadre de la mise en place des Missions par Lignes de Produit, Monsieur
Étienne ROHART est nommé, à compter du 15 mars 1982, Responsable de la Mission
Ligne de Produit Mini 6 et DSA.
GIDB / Département Informatique Distribuée - Le 23 mars 1982, Communiqué N°
2215 :
A compter du 31 mars 1982, Pierre STEUNOU est nommé Directeur Financier du
Département Informatique Distribuée.
GSIG / Département Études Matériel DPS 7/DPS 8 - Le 6 avril 1982, Communiqué
N° 2219 :
A compter du 1er avril 1982, il est créé une Division Sous-Systèmes Mémoire de
Masse au sein de la Direction des Etudes Micrologigiel et Logique de GSIG. Sa
responsabilité est confiée à Henri VERDIER.
Le 21 avril 1982, FLASH N° 497 :
Négociations Honeywell / CII-HB : accord de principe
Cii Honeywell Bull annonce aujourd'hui qu'un accord de principe est
intervenu entre les Pouvoirs Publics, la Compagnie des Machines Bull et
elle-même, d'une part, et Honeywell, d'autre part, aux termes duquel sa
coopération technique et commerciale avec HIS se poursuivra pour une durée de
dix ans.
.....
La participation de HIS dans le capital de Cii Honeywell Bull va être ramenée de
47% à 19,9% par suite du rachat d'actions par la Compagnie des Machines Bull
pour un montant de 150 M$.
.....
Compagnie des Machines Bull
" Le Conseil d'Administration de la Compagnie des Machines Bull s'est réuni
mardi 20 avril sous la présidence de M. Roger FAUROUX.
... Compte - tenu des modifications en cours dans le secteur de l'informatique
et du retrait de Saint-Gobain, M. FAUROUX a fait part au conseil de son désir de
renoncer à ses fonctions de Président. Il a été remplacé à ce poste par Maxime
BONNET.
Au cours de la même réunion, le conseil a accueilli M. Jean-Claude HIREL nommé
Administrateur par décret du 16 avril. "
Présidence de CII HONEYWELL BULL
M. Jacques STERN a été pressenti pour prendre les fonctions de Président
Directeur Général du Groupe
CII HONEYWELL BULL. Le conseil d'Administration de CII HONEYWELL BULL sera
prochainement réuni
pour procéder à la nomination du nouveau Président.
GIDB / Direction Générale - Le 27 avril 1982, Communiqué N° 2228 : GIDB - 2
A compter du 3 mai, M. Yves RAYNAUD prend la Direction du Groupement
d'Informatique Distribuée et Bureautique. Il remplace à ce poste Nicola CANZIANI
qui avait exprimé, il y a quelques mois, le souhait de rentrer en Italie. Signé
: Maxime BONNET